Sujet: fille du vent, de l'énigme. Ven 14 Avr - 23:57
Tisha Grahams libre mais digne
MORE ABOUT ME ↝ NOM : Grahams. ↝ PRENOM : Tisha. ↝ SURNOM : Tish’, pour quiconque est assez flemmard pour s’économiser la prononciation d’une lettre. P’tit chat, jeu de mots affectif, exclusif au géniteur. ↝ ÂGE : Vingt-deux ans. ↝ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 12 mars 1995, Detroit. ↝ ORIGINES : Perdues dans l’amalgame des générations, il y a dans tout cela de l’antillais, du malien... avec pour seul lien ethnique retraçable la Nouvelle-Orléans. ↝ MÉTIER OFFICIEL : Pionne dans un lycée. ↝ GANG ET STATUT : Aucun. La bête rugit, un désir de destruction pulse dans les veines, mais la douleur et le besoin de justice en étouffent le grondement sourd. ↝ ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle, mais plutôt dans le sens jem’enbatslescouillesexuelle. ↝ STATUT CIVIL : Incapable d’accorder une place importante dans sa vie à qui que ce soit. ↝ SITUATION FINANCIÈRE : La galère, la dèche. ↝ AVATAR : Amandla Stenberg. ↝ GROUPE : Butterfly Knife.
↝ CARACTÈRE : (MINIMUM 5 LIGNES) T’as toujours été paradoxale, profondément duelle ; et ton âme fêlée de cette dichotomie existentielle s’est comme brisée il y a déjà quatre ans... Depuis, t’es tout bonnement indéfinissable – instable. Souvent la gueule sombre, une fureur muette dans les yeux qui te reste au bord des lèvres pareille au haut-le-cœur bilieux qu’on retient difficilement ; tu fais peur – aux passants que tu observes vaguement, aux élèves que tu chaperonnes, parfois même aux profs... Et puis t’allumes un gros joint de beuh, et juste après c’est la joie qui s’allume sur ton visage – mince sourire sur tes lèvres, les grisantes bouffées de marijuana endorment la rage au fond de toi. Tu t’attaches à personne, ça en vaut pas la peine – y’a plus grand’chose qui vaut la peine, en vrai, ton rap, la justice que t’espères plus, et les quelques bons moments qui t’arrachent à la langueur sauvage de ton quotidien. Vue d’dehors tu fais peur, mais dedans c’est encore pire – c’est que tu brides des envies d’tout niquer, d’tout saigner, auxquelles se mêlent l’espoir de participer à un monde meilleur, de t’élever au-dessus d’cette vie aussi sombre que ta peau. « Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau ! »
↝ Ta maison brûle, t'accuses qui en premier ? : T’as pas d’maison, c’est pour les riches ça, mais si t’en avais une et qu’elle brûlait, tu saurais direct – ou en tout cas tu penserais direct, sans envisager aucune autre possibilité – qu’après avoir dézingué l’autre, ces bâtards de Lost Children ne pouvaient faire autrement que d’t’effacer toi aussi d’la face de la Terre. T’as pas d’maison, mais la nuit avant d’dormir tu fermes la porte de ton petit appart’ à double-tour ainsi que toutes les fenêtres, et juste avant d’éteindre la lumière dans ton lit tu vérifies que le flingue de ton frère se trouve toujours dans le tiroir de la table de chevet. ↝ Toujours en feu, t'as le temps de sauver trois choses. Tu prends quoi ? : T’as pas grand’chose qui vaille la peine d’être sauvé... Ta beuh et ton flingue, peut-être... Quelques bouquins qui te tiennent particulièrement à cœur, tu saurais pas dire lesquels, la décision ne saurait se faire que dans l’urgence. ↝ Maintenant que l'incendie est passé, t'as prévu quoi pour te venger ? : Sûrement que si t’avais payé pour une putain d’baraque, et qu’on y avait foutu l’feu, t’aurais pas le sage flegme de « laisser la police faire son travail » – d’façon tu les as déjà vus à l’œuvre, bien assez pour savoir qu’ici les flics ne servent qu’à créer une fragile illusion de sécurité. Non, tu t’en chargerais toi-même, tu pourrais pas faire autrement, le feu aurait brûlé les raisonnables liens qui entravaient le monstre en toi, tu serais allée tous les buter, quitte à crever au passage. ↝ Et le Maire qui dit qu'il veut reconstruire la ville en mieux, tu lui fais confiance à ce barjot ? : Au moins autant qu’aux flics. Des années qu’t’écoutes plus ces conneries qui, lorsqu’elles te parviennent accidentellement aux oreilles, te semblent comme le bruit aigu et sifflant d’un moustique rodant autour de toi. Désireux d’te sucer le sang.
2ème partie de la fiche
01. MAN DOWN Avant, t’avais un frère – Deandre. C’était un grand frère beau et fort, le roi de votre petite cité délabrée, et toi t’étais une princesse, une princesse d’ébène dont on entendait les hauts talons claquer dans toute la rue, dont on guettait le déhanchement félin – discrètement, parce que le roi veille. Avant, le jambalaya maternel emplissait l’appartement de fragrances épicées dont la chaleur entêtante s’échappait de vos fenêtres et couvrait jusqu’aux plus âcres odeurs d’urine du coin – quand la mama Grahams faisait à manger, tout le monde le savait. Et puis un jour on a tiré. Qui, c’est pas important ; pourquoi, on s’en fout – tu connais plus ou moins la réponse à ces questions. Tout ce qui importe, c’est qu’on a tiré, tiré sur Deandre, trois fois, et qu’il est mort, et que maintenant t’es plus qu’une misérable enragée, exilée du foyer familial que tu ne supportais plus et dont, de toute façon, ne se dégage plus aucune bonne odeur. 02. TRAPPED IN MY MIND Maintenant, la vie du ghetto, les gangs, tout ce qui constituait la belle vie d’avant, ça te dégoûte. Tu les veux tous morts, crevés sur le pavé ; tu les hais, putain, ces démons arrivés des profondeurs infernales pour faire flamber Detroit. Mais y’a encore en toi quelque chose de digne, de trop digne pour s’abandonner à la violence, alors tu préfères agir autrement. T’aimes bien être pionne pour ça, pour parler aux gamins, pour leur dire qu’il existe d’autres chemins, de meilleurs chemins – pour leur dire de pas finir comme Deandre. 03. FRENCH INHALE De ses lointaines et multiples origines, la famille a conservé la langue – ce français, qui roule sur ta langue comme une dragée de Bertie Crochue au goût un peu bizarre, mais genre une bizarrerie inexplicablement fascinante... Tu le parles et tentes parfois – pitoyablement – de l’écrire, mais ce que tu préfères c’est encore le lire. 04. POETRY HOW DOES IT FEEL Parce que, c’que t’aimes le plus – malgré c’qu’on pourrait imaginer en voyant ta dégaine – c’est la poésie, les jolis mots qui, unis les uns aux autres, permettent de décrire les magies indicibles, imperceptibles, de l’univers ; les belles phrases et les images mystiques qui te transportent au-delà de ton existence merdeuse, des industries fumeuses qui étouffent la ville. 05. CAN I KICK IT? Et puis t’aimes aussi les mots moins jolis, ceux qui crèvent le silence dédaigneusement indifférent de ceux qui croient pouvoir magouiller sans jamais payer ; ces mots laids et douloureux qui, fébrilement enchaînés, crachent les misères cachées, ignorées, à la gueule du monde. Le rap – celui qu’t’écris d’une main enragée, celui qu’t’écoutes avec une hargne morose – c’est sûrement le seul truc qui te tient aujourd’hui. 06. BATTLE CRY Deandre, il t’a toujours traitée comme sa princesse, mais jamais comme une fifille artificielle et faible. Il t’a appris à encaisser les coups, à t’battre, et pour tes quinze ans il t’a appris à te servir d’une arme à feu. Ta jeune main tremblait comme jamais dans sa vie, le métal glacé de l’arme paraissait brûlant au contact de ta peau, ton frère derrière qui t’aboie les instructions – « Pose-toi bien sur tes deux jambes ! Une main sous la crosse pour pas manger le recul ! Tiens plus fort le gun, wsh, t’as cru c’était une Barbie ou quoi ?! » 07. STAY WIDE AWAKE Du coup, ça t’a paru parfaitement logique – parfaitement légitime, même – de garder son Beretta. Ce putain d’Beretta qu’tu te demandes encore pourquoi il l’avait pas sur lui ce jour-là, pourquoi pourquoi pourquoi, des fois quand t’es seule dans ton appart’ tu l’attrapes et le serres fort fort en visant dans le vide, comme si t’attendais que quelqu’un, que n’importe qui apparaisse pour lui tirer une balle dans le crâne. 08. BITCH DON’T KILL MY VIBE Ca fait huit ans qu’t’as croisé le chemin de Santa Marijuana, qu’elle t’a séduit en faisant virevolter les froufrous verts et entêtants de ses jupes. La première fois, t’as posé tes lèvres sur les tiennes, frissonnante, le cœur battant à mille à l’heure, et c’est un univers de grisante douceur, d’inspirante langueur, qui s’est vivement ouvert tandis qu’une galaxie de pensées plus ou moins profondes illumine ton crâne enfumé. Et puis depuis, l’ordre des choses s’est inversé en toi : tu t’sens défoncée quand tu l’es pas. 09. I AM HER Fière d’être noire, fière d’être femme ; ton cœur bat au rythme humilié, révolté, de toutes tes sœurs qu’on compare à des panthères noires, qu’on siffle, qu’on touche, qu’on frappe, qu’on viole... Ton afroféminisme, il est insignifiant, te dis-tu en serrant les poings, tu pourrais faire tellement plus – mais c’est qu’tu t’rends as compte, toi, de l’importance de l’aide que t’apportes à toutes ces jeunes filles que ton autorité de pionne protège de certaines mains avides... 10. WORDS OF WISDOM Tes parents, ils veulent qu’tu fasses des études. Ton frère comptait là-d’ssus, lui aussi, c’pour ça que malgré ses goûts luxueux il a toujours trouvé d’la maille à mettre de côté pour toi. Mais toi tu veux pas en entendre parler, t’as juste envie d’vivre au jour le jour, comme si chaque matin tu t’levais en pensant « On fume un joint et après on voit ». Sauf qu’en vrai, c’est un cercle vicieux, parce qu’il est toujours l’heure de fumer un joint, sans jamais voir quoi qu’ce soit ; t’es empêtrée dans c’quotidien bizarre et confus qui t’enferme en tête à tête avec tes démons. Un jour p’t-être tu retrouveras les vieilles ambitions enfouies au fond d’toi – le besoin pressant, oppressant, de grimper jusqu’au plus haut d’la vie. 11. ALIVE (NIGHTMARE) La nuit, souvent, tu dors pas. T’es claquée, mais t’y arrives pas. Alors t’égrènes le temps à la cadence fluctuante de longues promenades dans tout Detroit, espérant parfois te fondre dans l’obscurité d’la nuit pour toujours ; ou alors tu prends ta caisse, tu sors de la ville, et tu bombardes sur les routes en criant, tu fonces vers l’horizon comme si tu pensais pouvoir rattraper l’aube. 12. HELL OF A NIGHT Et puis des fois t’es comme prise de nostalgie, une nostalgie un peu vicieuse de ta vie d’antan. Ces nuits-là tu te maquilles lourdement, mécaniquement – tu n’as pas perdu la maîtrise de ces gestes précis qui gonflent tes lèvres d’un rouge sanguin, qui assombrissent tes yeux de mystères indicibles – ; tu te hisses sur de hauts talons qui allongent à l’infini tes fines jambes dévoilées par une robe courte ; et puis jusqu’au matin tu danses, tu bois dans l’un de ces innombrables lieux nocturnes fréquentés par les âmes perdues dans ton genre. Tu te noies et t’oublies dans ce chaos de corps, de lumières et de fumée, te rappelant parfois de semblables soirées... avec tes copines et Deandre. 13. CAN’T C ME Après sa mort, ça a jamais été pareil avec tes parents. Ils ont changé à tout jamais (toi aussi). Les plats de la mama n’ont plus ce goût indescriptiblement réconfortant qu’on appelle « l’amour », l’alcool a éteint la passion avec laquelle le padre aimait critiquer le gouvernement... surtout ce silence, ce silence assourdissant te rendait folle, tu pouvais plus supporter le poids de ce désespoir muet qui oppressait ton cœur. Du coup, dès qu’t’as pu, t’es partie vivre seule, t’as fui sans te retourner. T’oses plus aller les voir, et puis tu sais pas si tu veux vraiment les voir...14. NIGGAZ 4 LIFE Deandre et toi, vous vous sentiez tellement puissants, tellement au-d’ssus d’tout ; la nuit vous hurliez à la lune avec la fureur affamée des loups, vous hurliez à la Terre entière votre ambition d’la bouffer... Les vieux sont en visite de famille à la Nouvelle Orléans natale ce soir-là. Bourrés, archi-défoncés, vous riez bruyamment en dévalant les escaliers d’l’immeuble, vous vous bousculez moqueusement l’un l’autre en vous dirigeant vers la nouvelle caisse de Deandre ; lorsque ce dernier appuie sur la pédale et que l’engin démarre, tremblant énergiquement de tout son être de métal, vous poussez un cri victorieux, semblables à des révolutionnaires qui goûtent enfin à la liberté pour laquelle ils se battent depuis toujours... Nuit folle dont le souvenir s’est gravé à l’encre sur vos peaux sombres. 15. IT WAS A GOOD DAY Tu t’surprends parfois à fixer ce tatouage sur ton avant-bras droit avec un sourire de triste moquerie. Niggaz 4 life. Parce que maintenant y’a plus qu’un(e) nigga, que l’autre, en crevant, en t’abandonnant, a vidé ce titre des N. W. A. de tout son sens. T’aimerais pouvoir lui dire, putain, lui demander, pourquoi espèce d’illustre connard pourquoi t’as joué au con comme ça comment t’as pu risquer d’me laisser seule dans c’monde qu’on devait saigner ensemble pourquoi t’as pas respecté ta promesse putain pourquoi moi j’dois la respecter maintenant... Et puis des fois, mais ça c’est rare, t’ jettes un coup d’œil, t’inspires sereinement, tu lèves les yeux au ciel et tu t’dis – ou tu lui dis à lui, tu sais pas trop – qu’en fait ça va, ça peut l’faire. Dans ces moments-là, entre les nuages aux mille nuances monotones de gris, t’entraperçois la lueur chaude et iridescente de jours meilleurs.
↝ VOTRE PSEUDO : LSDumb. ↝ PAYS : France. ↝ FRÉQUENCE DE VISITE : J'avoue que je sais pas encore... Let's find out!↝ OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Par bazzart. ↝ T'AS PEUR DE QUOI ? : D'être adulte. Ca résume bien la chose ↝ UN MOT A RAJOUTER : Non, mais est-ce que j'peux en retirer un ? *jesors*. ↝ CREDITS : HYA (avatar), BALACLAVA (icône).
(c) killing me softly / 2017
Dernière édition par Tisha Grahams le Ven 21 Avr - 14:28, édité 5 fois
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 0:01
déposition une petite citation
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(c) killing me softly / 2017
(quitte à me faire taper sur les doigts, est-ce qu'il est possible de compléter cette partie après la validation ? parce que d'habitude j'aime bien écrire l'histoire pavesque de mes persos' mais là j'ai besoin de plonger en elle, no pun intended, en la jouant avant d'écrire son histoire )
Bloom James
≡ à détroit depuis : 12/04/2017 ≡ coups donnés : 100
≡ crédit : Siren charms (avatar) Tumblr (gif)
Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 0:05
awww, Tisha c'est cool comme prénom bienvenue parmi nous, hâte d'en savoir plus sur ton personnage
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 2:33
Bienvenue parmi nous Bonne continuation pour ta fiche
Nikita Vyasemtsev
bow down to bbdramaking
≡ à détroit depuis : 08/04/2017 ≡ coups donnés : 195
≡ crédit : avatar: milles rêves
Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 9:31
omg on dirait trop la jumelle de toni, jsuis sous le charme déjà tu me réserves un lien please autrement bienvenue et bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 10:30
BIENVENUUUUE AMANDLA + LE PRENOM JE Alors j'ai aucun soucis pour l'histoire sachant que de base, cette partie-là est facultative. Donc libre à toi de faire les 15 anecdotes et de laisser l'histoire pour plus tard
Si tu as d'autres questions, faut pas hésiter, Jojo et moi, on est là pour toi
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 13:19
merci tout le monde, vous êtes bien bons ! (j'avoue j'me presse pour terminer ma fiche mais j'veux participer à l'event ! ) ofc Toni, je serais ravie de lier nos deux persos je sais pas encore comment (mais je suis sûre qu'on trouvera assez facilement) (d'ailleurs je l'ai pas précisé mais je suis ouverte à toutes propositions de liens !) et puis merci Cole pour ta réponse ! du coup je pense qu'effectivement je vais pas faire l'histoire tout de suite... (d'façon ça me prendrait trop de temps et je pourrais pas participer à l'event)
(EDIT : Toni je viens de voir ta citation de L'Attrape-cœur )
Seth Carstairs
innocent les mains pleines
≡ à détroit depuis : 31/03/2017 ≡ coups donnés : 185
≡ crédit : pando (av)
Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 14:02
amandla bienvenue parmi nous
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Invité
Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 14:04
Citation :
ces bâtards de Lost Children
Putain, ça c'est une gamine intelligente.
Ce choix d'avatar est exquis et ta plume l'est tout autant. Bienvenue, j'espère qu'on pourra se dégotter un petit lien.
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 14:48
omg t'es trop jolie, can i hug u ? bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
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Invité
Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 18:08
Bienvenue les lost. Vient voir papa
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 19:40
merci bande de beaux mâles plus ou moins jeunes ! (je dis ça mais on sait tous que les hommes, c'est comme le vin... et d'ailleurs Cassel en est la preuve parfaite fufu mais mad aussi en fait... *jesors*) Varlaam, promis j'reviens vers toi quand j'ai ma couleur
Johanne James
Administratrice en folie
≡ à détroit depuis : 14/11/2016 ≡ coups donnés : 200
≡ crédit : Schizophrenic (avatar), tenor (gif)
Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Sam 15 Avr - 21:37
quelle beauté bienvenue ! bon courage pour ta fiche et puis si tu as des question n'hésite pas !
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Lun 17 Avr - 16:54
merci Johanne ! (fu Kristine est trop belle )
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Sujet: Re: fille du vent, de l'énigme. Lun 17 Avr - 17:22
bienvenue sur le forum. ton choix d'avatar me tue, mais so much quoi.